AVERTISSEMENTS ET CONSEILS DE LECTURE

Bonjour,

Je me dois, après une longue réflexion, de préciser ou donner, le cas échéant, quelques consignes concernant ce qui suit plus bas.

Si vous n'êtes pas un grand lecteur, contentez-vous de lire uniquement le ou les paragraphes qui vous intéressent. N'allez pas ensuite vous plaindre que vous avez lu une logorrhée lassante. C'est comme dire à un gamin que le feu çà brûle. Bien fait pour sa geule !!!

Il n'y a pas de jolies images pour accompagner votre lecture ? Qu'importe ! vous aurez, tout au long de celle-ci de nombreux liens hypertexte (en rouge sur votre écran) sur lesquels cliquer. Ceux-ci vous ouvriront une page annexe qui vous affichera de quoi relaxer (ou non) votre cerveau.

Ensuite, le contenu de ce qui suit est d'un avis strictement personnel. Si vous souhaitez faire des commentaires, autrement que dans un contexte rébarbatif de "snif, ouin,bouh, t'es qu'une méchônnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnte envers moi et mes copains de bac à sable ", vous pouvez m'adresser ceux-ci par les moyens qui sont à votre disposition.
La critique est recevable si elle s'avère constructive.

Attention cependant; je suis très taquine quant au fait du comportement au sein des communautés virtuelles. Les report-abuse sont des choses auxquelles je suis rompue.

Sinon, pour en finir, je ne mords pas. Le but principal de ce blog est de donner un avis proprement personnel et, j'en ai la prétention, souvent différent sur de nombreux aspects à beaucoup d'autres, sur les concerts et autres auxquels j'ai accès. Pour vous, lecteur, je tente à croire qu'il s'agit de rire un bon coup, et pourquoi pas, d'apprendre deux trois choses et de vous faire tressaillir (de plaisir, de honte ou de rage) dans vos pantalons.


Je crois en l'existence de l'individu conscient, pas dans celui du singe a qui on a appris à parler ou à écrire.


Bonne lecture.

Laranor



PS : Si quelqu'un veut se dévouer pour être mon correcteur orthographique, cela me soulagera d'un correcteur automatique pourri. Et au passage, si quelqu'un veut faire la traduction en anglais, qu'il me contacte : je suis prête à faire des concessions.




10 octobre, 2010

CONCERT DU 30 SEPTEMBRE 2010 – DARK TRANQUILLITY / INSOMNIUM / DXS

La saison a déjà repris depuis quelques jours mais c'est avec DARK TRANQUILLITY que je souhaitais me remettre à flot.
Déjà parce que, lorsque j'avais eu la possibilité de pouvoir assister à leur tournée sur Lyon il y a de cela 10 ans, pendant leur performance j'étais en en train de vomir mes tripes; mais aussi parce que j'ai toujours eu une certaine affection pour ce groupe. Je me souviens toujours avec émotion de PROJECTOR et du vidéo clip qui accompagnait Therein; le côté « monté sur la bécane de l'université » et les airs de goth libidineux de Mikael m'avaient toujours beaucoup amusé et, au demeurant, enchanté. Il ne faut renier non plus que depuis 10 ans, le groupe a sacrément bossé et « We are The Void » s'avère un très bon produit fini avec pleins de morceaux de très bon mélodic death métal à l'intérieur.


Le public français et surtout parisien éprouve une inclinaison toute particulière pour Dark Tranquillity; nous sommes ainsi très nombreux pour assister au concert de ce soir. Il aura été noté que, contrairement à moi, certains devaient avoir eu vent de la première partie de la soirée puisque GARMONBOZIA aura vendu des places jusqu'à la fin de la seconde partie; et donc, certains esprits bien avisés n'ont assisté qu'au set de 1'45'' du groupe (la performance ne s'arrêtera pas à la durée, je me fais fort de vous l'expliquer tout à l'heure), ce qui, au prix du billet, reste intéressant.

Nous attendons donc un petit moment devant les portes du TRABENDO à papoter des vacances, des coups de soleils et des bonnes résolutions de rentrée déjà loin. Il faudra quand même donner un peu des coudes pour se frayer un chemin vers la salle lorsque celle-ci s'ouvrira.
Une fois encore chanceuse, j'aurai l'opportunité d'assister au concert installée à côté des balances (j'affectionne particulièrement cette place). Le temps de jeter un petit coup d'œil au merchandising comme à mon habitude pour me rendre compte que, non seulement DT produit beaucoup d'albums, mais également beaucoup de produits annexes; la quantité est peu étourdissante en effet.

Comme aux habitudes du trabendo, le public se déverse en continu dans la salle que déjà les planches s'allument pour annoncer la première partie.

Et là, il me faut faire un MEA CULPA et demander pardon. Non pas à la première partie du concert bien a contraire, mais il va me falloir demander pardon à TARJA TURUNEN en premier mais également à LIV CHRISTINE pendant que j'y suis.
Pour les petits nouveaux qui sortent tout fraichement du nid, je m'explique. Les femmes dans le métal, et surtout le métal symphonique je trouve çà mal. Très mal même. Et, d'une manière plus générale, les femmes dans la musique ou l'art n'ont que peu de crédit à mes yeux (et surtout mes oreilles). Si l'on se cantonne à la scène moderne, certains personnages mis à part (citons Diamanda Gallas, Angella Gossow ou bien Gallhammer en tant que concept à titre d'exemples), je considère dans les grandes lignes que l'intérêt des voix féminines est trop largement surfait. Je vois en général l'utilisation d'un lead singer féminin comme étant un moyen hypocrite et détourné de racoler un public a peine sorti de l'enfance qui sort avec la carte gold de maman ou bien en plein marasme affectif. En termes moins galants, qu'il s'agisse de PENTHOUSE ou bien de « female lead singer », culottes et nichons font vendre le produit quel qu'en soit la qualité.
Je suis donc particulièrement crue, glaciale, impitoyable et intransigeante lorsqu'il s'agit d'une production « féminine » (mais j'aimerais bien voir Gallhammer en concert).
L'on peut citer le procédé équivalent sur le public féminin, avec des groupes comme TOKIO HOTEL, puisque eux, flinguent les culottes de celles qui assistent à leurs concert.
Une chose intéressante d'ailleurs qui fait la liaison avec le merchandising. A chaque concert, je vois avec amusement de plus en plus de « petites culottes », tanga et autres mini-boxers estampillés des noms et couleurs des groupes qui se produisent, s'étaler sur les stands. Tant qu'à faire que de flinguer une culotte en assistant à la performance, autant que vous l'ayez achetée pour l'occasion. Je trouve cette stratégie commerciale des plus amusantes et surtout particulièrement intéressante quand on y réfléchit (playboy vend déjà depuis des années des accessoires et du prêt à porter à des tas de gens qui sont très fiers d'arborer le petit lapin noir et rose, symbole oh combien chargé de sens. Et pourtant, la plupart de ces consommateurs n'en ont aucune notion).

Cessons dès à présent ces digressions et revenons-en à notre première Némésis de la saison.

Le groupe qui fait la première partie du « where death is most alive tour part II » a tout, et je dis bien tout pour me donner de l'urticaire : c'est mauvais, c'est du playback, ils ont une chanteuse vulgaire, les musiciens sont fades et effacés et surtout, ils sont Nicois (sur leur Myspace il est marqué Cannes). Ils n'avaient pas entonné depuis 27 secondes leur premier morceau que j'émis des doutes à pouvoir m'affranchir enfin de ma malédiction qui associe les performances de DT avec une offrande vomitive au dieu des chiottes.
Devious Experiment of Synesthesis, fleure bon l'étudiant en psychologie; c'est petit, misérable et outrage l'intellect. La cover de leur album (j'espère vigoureusement qu'il n'y en aura qu'un seul) est une illustration pratique de cette démarche et, non content d'utiliser le public comme terrain d'expérimentation, malmène la vie privée de celui-ci sans le moindre scrupule ni la moindre once d'éducation. MICHEL STEINER utilise de manière récurrence les PME comme boite à pétri pour les protagonistes de ses romans; mais Mr Steiner est un docteur en psychologie anti-psy, joueur et terriblement doué pour l'écriture. A l'inverse, DXS est tellement minable que je souhaite vraiment que la seule chose qu'ils feront décoller dans leur vie, c'est le papier peint de leurs minables petits appartements achetés à crédit sur 25 ans.
Musicalement, ces « gens » (peut-on parler décemment d'individus dans leur cas) s'apparentent eux-même au prog-métal ainsi qu'au black métal. Ni de l'un ni de l'autre je n'aurai entendu d'influences. Pourrait-on parler de métal symphonique comme à l'époque THEATER of TRAGEDY ou bien NIGHTWISH que j'avais jusqu'alors tant conspués ? Le problème majeur j'aurais tendance à dire est que, le métal symphonique tente en général d'être porté par une chanteuse qui possède et une présence scénique indéniable et une voix pour le moins intéressante. Mais « Aliénor » (le gisant doit faire trembler l'abbaye de Fontevraud. Il serait instructif d'aller en prendre la mesure avec un bon vieux sismographe) ressemble à une jeune femme à l'affection négociable, dépourvue de surcroit de toute expression d'affabilité. Ses traits sont grossiers, son visage est sans harmonie. Elle possède cette caractéristique commune à toutes les femmes de la côte d'azur, incarnation contre nature de la Muraena Helena. Mais que peut-on attendre au final de villages de pécheurs abâtardis et consanguins comme l'avait si bien décrit Lovecraft sous d'autres latitudes. Non content de s'avérer vulgaire et sans originalité, cette petite shagasse ne possède même pas l'aplomb suffisant pour se produire sans playback. La bande son meuglée par les enceintes offre au public une voix modifiée sous informatique et surtout sans valeur puisque le timbre ne possède aucune originalité et que la tessiture est faible et sans amplitude.
Aussi, au bout de 10 ans, quand bien même je ne reviens pas sur mon jugement concernant la performance de Nightwish, je me dois de modifier de manières radicales mon échelle de valeurs. Tarja Turunen était à l'époque un faux produit, Nightwish une arnaque, mais au moins, elle avait la classe en plus d'un visage avenant.
Bon autrement, comme je l'ai brièvement cité plus haut, musicalement c'est mauvais et tout simplement sans intérêt. Les qualités techniques ne sont pas suffisantes, les arrangements et les compositions sont sommaires et c'est un ensemble ennuyeux qui se produit devant nous. Les musiciens sont sans personnalités, vulgus pecum mis en avant le temps d'existence d'un quark. Le public parisien est difficile mais pour cette « performance » il aura eu la dignité ou bien l'orgueil de ne pas s'épancher, ni en tomates pourries ni en commentaires. Les visages sont consternés et même la présence d'un morceau de viande discount ne les fera pas changer d'expression.
La fin du set est une délivrance. Mon dernier regret s'illustrant dans l'incapacité à voir la culotte de l'azuréenne malgré la petitesse de sa jupe. Ce groupe manque donc en conclusion de personnalité et se révèle médiocre même dans l'outrage.

Que n'ai-je point entendu durant l'intervalle nécessaire aux changements de matériel le même son récurent de la part des membres du public. Tout le monde s'accordait sans s'être concerté à définir ce groupe comme odieusement mauvais, tremblant même de l'effet négatif qu'il pourrait avoir sur le ressenti final de l'ensemble de la soirée. Dieu merci, la qualité de ce qui a suivi était sans commune mesure.

La seconde partie est assurée par INSOMNIUM; ceux-là même qui s'étaient produits en décembre dernier avec SWALLOW THE SUN au Glaz'art (avec les premiers frimas reviendra peut-être mon ami le Glaz'rat sait-on jamais).
Le set s'est avéré être exactement le même que celui de l'an dernier, mais la qualité du Trabendo est largement meilleure à celle du Glaz'art, tout comme celle du nouveau casino l'est également. Je trouve que la qualité du son influence énormément celle de la performance; ou simplement de son ressenti. J'en ai profité pour dénouer les cordons de ma bourse et suis donc allée soutenir pécuniairement les pauvres « bohémiens en goguette » que sont les membres du dit groupe.
Musicalement, je ne pourrais que narrer mon ressenti du moment ainsi que les différences de perception entre ce concert et le précédent, car si cela n'avait été le cas précédemment, le set du soir m'a totalement conquise. En outre, il est apparu également que certaines des idées et supputations que j'avais avancées lors de ma précédente narrations furent mises en évidence. Groupe de melodic death metal, les arrangements du Trabendo permettent une meilleure écoute des phrases musicales symphoniques et des influences puisées ou reprises à la musique folklorique nordique. L'empreinte de Sibelius est plus audible également; on retrouve ce sentiment d'identité et de fierté du pays et des racines. Une fois encore, je n'ai pu m'empêcher d'associer l'écoute à des sensations de vents glacés, ou bien à des odeurs d'embruns et de remugles d'estuaire gelé et silencieux. Les membres d'INSOMNIUM, non content de promouvoir la culture finnoise transportent avec eux toute l'essence même de l'océan glacial arctique. Le voyage s'avère certes auditif, mais on s'approche, lorsque les conditions sont optimisées comme ce soir, vers un voyage quasi-onirique. On songe en les écoutant aux maisons en rondins avec leurs poêles en fonte, au fumage du saumon sauvage ou bien à des tord-boyaux parfois douteux. Mais si l'ont veut commencer à parler de la Finlande il faudrait également citer Nokia ou Kone. Le sujet est donc long, vaste, riche et les intéressés seront les mieux placés pour en parler.
INSOMNIUM offre donc un set égal au précédent concert mais doté d'une qualité de son et d'un espace largement plus à propos. Le public est content et la dynamique du groupe va avoir singulièrement réchauffé la salle pour la venue de la tête d'affiche.

Mais voilà que s'avance déjà le fleuron de la soirée. Le public est ici pour voir DARK TRANQUILLITY et il va en avoir pour son argent.
La set list principale comporte 15 morceaux, ce qui est énorme mais le rappel va nous offrir un supplément de 4 titres de plus. Donc, comme je l'avais annoncé au début de cette chronique, 1heure 45 de live comprenant, certes les morceaux, mais aussi les interventions de Mikael.
Lorsque le grand roux entre en scène, c'est une réelle explosion de joie qui se fait entendre. Le seul groupe qui avait à ce point déchainé une telle passion auparavant, si l'on en reste au métal, avait été BOLT THROWER. Les deux groupes ont d'ailleurs en commun un grande fidélité de leur public, avec le passage de générations en générations de cette affection.
Le public death français aime donc DARK TRANQUILLITY; mais DT aime également beaucoup le public parisien. Durant tout le set, Mikael aura affiché un large sourire qui j'assimile à non seulement du contentement mais aussi du bonheur.
Le groupe fonctionne comme une entité composée de différentes parties et qui cependant fonctionnent de concert. Les arrangements matériels permettent d'ailleurs à chaque protagoniste de se déplacer sur la scène à sa convenance, et, à chaque instant, c'est l'espace tout entier qui est occupé. Même le public qui s'amasse derrière les balances n'est pas oublié, puisque, qu'il s'agisse de Martin Henriksson, de Mikael ou bien encore de Daniel Antonsson, chacun périodiquement vient se produire devant les dites balances.
Depuis 10 ans, le groupe a beaucoup évolué en terme de musique. De PROJECTOR, qui était un album plutôt « frais » et « léger » à bien y réfléchir, nous voilà aujourd'hui arrivé à « We Are The Void » qui propose une composition plus élaborée, plus réfléchie et réellement plus raffinée. L'album a un côté plus « raisonnable » sans pour autant renier le fait que DT fasse du Death Métal. On retrouve dans celui-ci tout ce qui avait fait émerger le groupe, c'est à dire des mélodies dynamiques et sensibles, des arrangements accrocheurs mais surtout un son propre au groupe et en tout premier un chanteur d'exception. La voix de Mikael a murit également, son « sentimentalisme » se fait plus posé. Il y a de cela 10 ans, j'avais considéré que le groupe proposait une liaison parfaite entre le goth et le métal (en prenant en considération que j'ai toujours, je me répète, préféré le death au black). Désormais, avec l'interpénétration récurrence des genres entre-eux, DT s'accorde parfaitement avec mon idée initiale. Cette affirmation s'est d'ailleurs retrouvée illustrée par la présence de têtes croisées lors du concert de Diary of dream l'an dernier à la Loco.
Le show est brillant. Le son est excellent, les morceaux sont splendides et interprétés avec brio. Mais la cerise sur le gâteau, et qui doit aussi faire une partie des entrées de leurs concerts, c'est le jeu de scène de Mikael.
Cet homme aime réellement et profondément se produire sur scène et surtout son public. Il se déplace promptement sur l'ensemble de l'espace, se penche au dessus de la fosse, monte sur les enceintes, chante en position fœtale et, caractéristique extrêmement importante à mes yeux, regarde le public dans les yeux. Le grand monsieur passera son set à accueillir sur scène les participants du stage diving, à serrer des mains, à serrer des gens contre lui. Il offre au public une quasi totale dévotion. Le paroxysme de ce comportement généreux est illustré par ses propres stage-diving, porté en héros, alors que, en parfait professionnel il continuera à interpréter sa partition. Je révère foncièrement cet homme que je trouve tout à la fois, beau, élégant, d'apparence foncièrement saine et aimable.
Le rappel sera des plus délectable puisqu'il semblerait que, tout comme moi, beaucoup de gens aient découvert DT grâce à THEREIN. Mikael laissera d'ailleurs le public reprendre le refrain à sa place, en ayant limite la larme à l'œil. Sa grande sensibilité le rend automatiquement sympathique et, même si sa beauté fait de DT un groupe à gonzesses, il faudra malgré tout se rendre à l'évidence que les qualités du produit ne s'arrêtent pas à la seule présence de Mikael tant la gente masculine est représentée ce soir.
Merci donc à DARK TRANQUILLITY pour la grande performance de ce soir et pour m'avoir enfin permis de briser la malédiction qui me liait à vos concerts. Il va sans dire que lors de votre prochain passage à Paris j'assisterai également avec une grande joie à votre set.

La conclusion général de la soirée sera donc relativement positive. En effet, DARK TRANQUILLITY, INSOMNIUM furent des moments particulièrement chargés en émotions, portées par un public pas moins heureux que moi.
En outre, DXS va m'avoir permis paradoxalement de me trouver un premier référentiel négatif pour l'ensemble de cette saison. Certes, de grandes inquiétudes ont parcourues l'assemblée, tremblant au départ de la suite de la soirée. Mais le public de la scène death s'avère plutôt généreux et semble parfaitement à même de relativiser les éléments, faisant la distinction entre les torchons brulés et le serviettes de table du dimanche en famille.
Donc, puisque j'aime en général à l'écrire, déjà : Merci et bravo à INSOMNIUM et DARK TRANQUILLITY mais également , tous faisons honte à DEVIOUS EXPERIMENT OF SYNESTHESIS. Qu'ils retournent barboter avec leurs frères et sœurs alevins. Je ne suis pas au fait que Cthulhu ait programmé son réveil pour bientôt, nous pouvons donc dormir tranquille quant au retours de ses suivants sur la terre ferme. Je prends note quand même de devoir me munir pour un prochain concert du signe des grands anciens car on n'est jamais trop prudent.

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